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vendredi 20 mai 2011

0 Tribunal des soumis au Marquis (1)

         En fin de semaine, nous décidons d’accompagner samedi M Ridge et Jéa au Marquis où se déroulera le tribunal des soumis et soumises. Auquel je ne compte aucunement participer, je suis bien trop sage pour être jugée... Et de fait tu n’as pas renvoyé le formulaire fourni par l’équipe de fetish nights. C’est donc très sereinement que je me prépare, et tout aussi calmement que je papote jusqu’à Marseille. J’ai même bon appétit devant le poulet préparé par Jéa, je blague avec elle sur le siège arrière pendant le trajet jusqu’à La Garde...Malgré la pression que vous tentez de  mettre : Toi, en me disant mystérieusement : « quand je te dirai c’est maintenant, ce sera le moment de t’exécuter ». M.Ridge en disant en substance « rigolez maintenant les filles, vous rigolerez moins plus tard », et M.Baal qui m’annonçait dans la matinée une surprise lors de la soirée...

         Habituellement, j’arrive aux soirées déjà en tenue, il ne me reste que quelques détails à régler (corset à serrer, changer de chaussures, me défaire ce qui me cache aux regards vanilles, retouches de maquillage). Hors cette fois, je ne portais que mes bas et mon porte-jarretelle en cuir sous mes vêtements « civils » (enfiler les bas et les fixer  est une opération plutôt délicate et stressante que je préfère réaliser chez moi et à la lumière, et non m’énerver dans des vestiaires trop peuplés à mon goût et à l’éclairage plus que tamisé...) Donc je m’habille exceptionnellement sur place, en commençant d’ailleurs par me dévêtir...Jéa me serre mon corset, affaire difficile dans la luminosité ambiante. Enfin nous pouvons rejoindre les hommes  qui avaient fini par s’impatienter et étaient allés s’installer en salle.

            En attendant que la soirée commence, et avant que les différents postes de jeu ne soient pris d’assaut, tu m’emmènes dans la salle de jeu « du milieu », où se trouvent un pilori, une croix de St-André, un tonneau couché et une poutre de contrainte avec des menottes en cuir, à priori actionnée  électriquement, sauf que ça ne fonctionnait pas...c’est par là que tu décides de commencer, tu fixes mes poignets aux menottes et comme je ne suis pas très grande, je peine à écarter les jambes. Tu me chauffes les fesses avec les martinets légers, puis avec le martinet médiéval et le petit fouet. Ensuite tu me détaches et me pousses contre  le tonneau. Ainsi allongée contre sa paroi cylindrique, les pieds au sol et  les bras ballants de l’autre côté, je continue à bénéficier de ce traitement. Mais mes chaussures glissent sur les carreaux, alors tu me positionnes autrement, sur la tapis face au couvercle, où tu poursuis en y ajoutant la canne.



   




à suivre...

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