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jeudi 15 septembre 2011

0 la tulipe siam

Le 7 septembre, date anniversaire douloureuse pour moi, j'ai l'agréable surprise de recevoir le charmant courriel avec pièce jointe suivant:













J'envoie un mail de remerciements, mais je me loupe et réponds en partie dans le corps du courrier original...

Provoquant la réponse  étonnée du secrétaire particulier très occupé de Dame Miraë, qui ne voit que mon en tête




J'envoie donc mes remerciements correctement cette fois, petite explication à l'appui 




          réponse:





mercredi 14 septembre 2011

2 fetish night à l'envoûtée

Nos amis les TSM nous font le plaisir de nous accompagner lors d’une soirée à l’Envoûtée. Fait exceptionnel, Miraë sera soumise à M.TSM pour l’occasion. Avant de partir, nous prenons un verre dans la véranda, le temps de me préparer et pour M.TSM de fabriquer une fermeture éclair avec des pinces à linge et une ficelle. Je sens la pression monter d’un cran. Je n’ai pas particulièrement peur de la douleur, et pour ce que je me sais, c’est une douleur brève, donc tout à fait gérable, même si je n’aime pas me faire tourmenter les seins. Mais pour poser ça sur les seins, cela suppose nécessairement de les montrer, ce qui ne m’enthousiasme pas du tout ! Je file finir de me préparer, lorsque je reviens, harnachée comme toujours dans mon corset et mon porte-jarretelle en cuir, M.TSM qui demande « Je vais quand même pouvoir trouver un endroit pour jouer avec tout ça ??? »




L’apéritif se prend sur la terrasse, où nous sommes reçus cordialement comme toujours par M.André et Kassandra, il y a des fidèles, comme M.Ridge et Jéa, Yvanha, M.HP et Crystal, quelques têtes inconnues, et des « anciens ». Puis nous rentrons pour le discours de bienvenue de M.André suivi de la fessée collective pour ouvrir les jeux. Je me surprends à lui demander d’attendre quelques minutes, le temps d’aller au petit coin, alors qu’il y a quelques mois, je me serais probablement esquivée discrètement pour ne pas participer à cette fessée collective. Et lorsqu’il demande, « Bon, on peut commencer, siham est de retour? », je réponds « Oui ! je suis là ! » , tout en me mettant en place sans sourciller.




La chaleur nous rappelle sur la terrasse, où M.TSM décide de me faire tester la fermeture éclair fabriquée quelques heures plus tôt. Aussitôt je me fige, envolée mon insouciance. Autant je me sens moins gênée qu’avant de montrer mes fesses, et encore, la plupart du temps camouflées en partie par le porte-jarretelle, autant avoir les seins à l’air est une idée difficilement acceptable. Malgré le tendre soutien de Miraë pendant que vous me posez les pinces, malgré les encouragements de M.TSM, qui tente de me rassurer en me disant que personne ne me voit, je suis mortifiée, je serre les dents pour ne pas exprimer ma colère, les yeux me piquent, ce qui me rend plus en colère encore, contre moi-même, pour accepter cela, mais aussi d’attacher plus d’importance à mon image qu’à mon propre plaisir, à tel point que j’en oublie totalement les pinces, et que je les sens à peine lorsqu’elles sont arrachées.



Puis c’est au tour de Miraë, de Didier, de Crystal et d’Yvanha de subir la fermeture éclair, mais pas seulement sur les seins, et de façon beaucoup plus appuyée que moi, c'est-à-dire en endurant en sus des coups de cravache sur les pinces.


 Nous retournons à l’intérieur, où M.TSM décide de tourmenter Jéa, et me demande de venir l’accompagner. Je me place donc face à elle, à l’autre bout du chevalet sur lequel elle a pris appui, et lui parle gentiment en lui caressant les cheveux, pendant que M.Ridge me frappe de ses martinets, nous finissons par nous encourager mutuellement dans une belle complicité.


Pendant que tu joues avec Kassandra, je m’installe à la place de Jéa, qui se met en face de moi pour me soutenir à son tour, remplacée peu après par Miraë. M.TSM commence doucement, mais il me connait, il sait que j’endure assez bien, c’est juste pour me chauffer et sentir si je suis prête à aller plus loin. Et effectivement, les coups de fouet deviennent rapidement plus insistants, puis il me glisse à l’oreille « Quand tu voudras que je m’arrête, il te suffira de te mettre à genoux ».  Dans ma petite tête, j’ai senti comme un déclic, un engrenage qui se met en route et qui bloque l’accès à la raison. Ma petite cervelle a entendu « mets-toi à genoux où je continue » et a pris ça comme une provocation, et je suis passée en mode défi. Connaissant parfaitement ce qui se joue dans ma tête à ce moment là, reconnaissant clairement les signes de mon combat intérieur, tu viens contrôler si je suis en état de continuer, ou si je me laisse déborder par mon orgueil, tout en communiquant silencieusement avec M.TSM.

C’est sans doute un peu difficile à comprendre où est le plaisir de tenir tête. (J’ai bien du mal moi à comprendre où est le plaisir d’obéir) Mais en fait, c’est assez simple. D’une part, il ne s’agit pas du tout de résister pour résister, dans ce cas, je ne jouerais pas, je dirais non un point c’est tout. D’autre part, il y a un côté dépassement de soi, une sorte de challenge, à mesurer ce que l’on est capable de supporter, un peu comme un sportif. A chaque coup qui tombe, je me dis « encore un peu, finalement ce n’est pas si dur » J’en retire une force intérieure, extrêmement grisante, qui prend le pas sur la douleur. Celle-ci reste présente, mais par une espèce de gymnastique mentale, elle devient secondaire, ne faisant que nourrir mon orgueil, il n’y a que tenir qui vaille, finalement. Dans ces moments, j’ai mal, et bien que je pleure, que je crie, je me sens forte, invincible. Par ailleurs, je ressens un soulagement immense, car en pleurant, je permets aux émotions refoulées de m’envahir, je lâche prise et je laisse tomber toutes ses défenses que j’ai accumulées au fil du temps pour cacher ma vulnérabilité. Des centaines de fois, j’ai failli tout stopper, j’ai été limite de me mettre à genoux afin de demander l’arrêt moi-même, moins parce que je cédais à la demande mais plus parce que je  me sentais enfin libérée du poids de ma carapace, et en droit de laisser libre cours à mes larmes...D’ailleurs après, lorsque tu as mis fin au jeu, je me suis mise à genoux pour remercier M.TSM, lui dire mon plaisir...mais après seulement…Et je me sentais parfaitement  bien, peut-être un peu fatiguée, vaguement étourdie, mais légère et apaisée.


mardi 13 septembre 2011

0 Yes, we canne!




Auscultation et soins lors de la visite médicale des soumis et soumises chez nos amis les TSM

Dr Tourments
Docteur Tourments



vendredi 2 septembre 2011

0 EsCAPade au CAP d'Agde

M.Ridge et Jéa nous offrant l'hospitalité, nous décidons d'aller faire un tour au Cap, dont on nous dit le plus grand bien, et notamment son club SM le Clair Obscur... Nous arrivons en fin d'après-midi, rien de surprenant de croiser des hommes et des femmes nus comme des vers, ballottant leurs bijoux de famille sans aucun complexe, des jeunes, des vieux, de beaux et de moins beaux, indifférents aussi bien aux regards qu'à l'apparence des autres. Amusant quand même la sacoche en bandoulière...Bah oui, le code du parfait naturiste n'avait pas prévu le téléphone portable ou les clous de cercueil...et encore moins la Carte Bleue ! Car ici comme ailleurs, tout se paye, le monde est régit par l'argent, tout le complexe n'est que tentation à mettre la main au portefeuille... Boutiques, (dont je n'ai pas été la dernière à profiter ! Héhé !) bars et restos à foison.

Après une coupe de Champagne en compagnie de nos hôtes et de leurs amis M.Carlos et Toni, nous allons tous les six au restaurant, et là, quel dépaysement ! La nuit, le village se transforme pour devenir le royaume du sexe. J'ai cru atterrir sur une autre planète ! Du coup, j'ai pensé à la scène du bar dans Star Wars, et l'étonnement de Luke http://youtu.be/nSRwzP23ifI Bien que la plage soit à quelques jets de pierre, au cœur du Cap on est loin de l'harmonie avec la nature prônée par la philosophie naturiste. Certes, on y croise toujours des naturistes purs et durs, (parfois même des familles avec enfants, il faut bien qu'ils mangent aussi), mais ils ne font pas la majorité loin de là...Ceci dit, la tolérance prônée par la philosophie semble toujours de mise. Maintenant est-ce qu'il s'agit de tolérance ou d'indifférence, je ne saurais le dire...Mais j'ai adoré cet endroit et sa foule hétéroclite aux couleurs bigarrées, où le nu intégral côtoie les tenues les plus extravagantes, où chacun est libre d'exprimer ses préférences en matière vestimentaire, de la plus simple à la plus provocante, sans risquer d'amande pour attentat à la pudeur...



Après un très agréable et amusant dîner, nos hôtes décidant d'aller manger une glace, nous allons nous préparer pour finir la soirée au Clair Obscur, car au départ, j'étais venue surtout pour voir enfin ce club ! Je me surprends à ne ressentir aucun stress à sortir dans un endroit qui m'est totalement inconnu, je n'hésite pas à fendre le flot harnachée de ma cuirasse habituelle, mon collier au cou, insensible à l'opinion des gens, peut-être est-ce l'ambiance générale qui me donne l'impression de me fondre dans la masse...

Pas grand monde ce soir là dans le club, mais il était déjà très tard lorsque nous sommes arrivés, ceci explique peut-être cela, et bien que les stations de jeux soient très nombreuses et variées, finalement nous avons surtout joué sur la croix et une banquette au bar ! Fouet, et surtout canne. Je parviens très rapidement à m'enfermer dans ma bulle, à apprécier les coups qui pleuvent, je me souviens de t'avoir demandé des coups plus forts avec la canne, moins enveloppants que d'habitude, du genre de coups qui laissent des traces, et je me suis laissé prendre au jeu, soutenue par la musique diffusée, d'abord classique puis des BO célèbres, notamment le thème magnifique et superbement rythmé de Laurence d'Arabie (http://youtu.be/fBl6z4OpnrA)

A 2h du matin, tout s'arrête au Cap y compris le club , mais la soirée n'est pas finie pour moi. En rentrant, tu me pousses contre un parapet, en me demandant de te présenter mon fessier malmené, et devant les quelques badauds retardataires, tu me donnes quelques coups de fouet. 





De retour à l'appartement, très excités tous les deux nous continuons nos jeux sur la terrasse, beaucoup moins SM ceci dit... Nos hôtes dorment, et tu joues avec ma peur d'être vue, pire d'être découverte en train de jouir, en m'obligeant à rester à la lumière pendant que tu me caresses, la situation est à la fois humiliante et excitante, mais je ne parviens pas à dépasser ma peur, et je finis par jouir à l'abri des regards nocturnes éventuels. Puis tu me fais lécher à même le sol le résultat de mon plaisir, avant de prendre le tien.


Au petit matin, profitant de la relative fraîcheur, nous descendons prendre un café dans un bar, puis partons faire un tour sur la plage, où tu t'offres le plaisir rare d'un jogging dans le plus simple appareil, et de mon côté, le bord de l'eau étant pratiquement désert à cette heure, je parviens à vaincre ma peur du ridicule et apprécie pleinement de me baigner toute nue. Encore humide et peu désireuse de me rhabiller complètement pour rentrer, je m'enveloppe de mon paréo tout neuf, persuadée d'être à l'abri des regards, ce qui s'avère complètement faux, mais tu te gardes bien de me le dire...



Après une bonne douche et un déjeuner en compagnie de nos amis, la sieste s'impose à certains, la nuit a été courte. Incapable de dormir, je profite du jacusi au milieu du salon, et intrigué par le bruit (des bulles) tu m'y rejoins. Les bulles semblent avoir un pouvoir aphrodisiaque...







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