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mercredi 27 juin 2012

3 JeuX de cire

Déborah étant une fervente adepte des jeux de cire, sa maîtresse lui propose d'essayer une superbe bougie rouge... Voir et entendre Déborah gémir et se tortiller, de plaisir bien sûr, mais aussi en réaction à la chaleur, me donne l'envie d'y goûter à mon tour, j'hésite, et si c'est trop chaud pour moi ? De plus je suis fatiguée et porte encore les stigmates de la soirée la veille au Clair Obscur... Mais je n'ai pas envie que la soirée se termine, je me décide à essayer...

Allongée sur le drap au sol, les bras croisés devant moi, je pose ma tête et ferme les yeux, m'efforçant d'inspirer calmement, attendant la première coulée avec quelque peu d'appréhension tout de même...

J'attends, concentrée... Quand la première coulée me touche, la chaleur me surprend malgré tout, par réflexe je redresse la tête, et à travers mes paupières je vois les ombres que projette la flamme sur le canapé en face de moi, immenses et redoutables. Tous mes signaux de survie se mettent en branle, j'ai l'impression d'être prise dans les flammes, je suis au bord de la panique, je n'arrive plus à respirer, tout devient confus, je n'ai qu'une envie, me lever, fuir, plonger dans la baignoire, je me souviens d'avoir pensé « mes cheveux !!! »... Avec fermeté tu me raisonnes, le reflet de la flamme est démesurément grossi, tout va bien, Déborah me prend la main tendrement et me rassure, tant et si bien que je reprends doucement le contrôle sur ma respiration ainsi que la maîtrise sur les sanglots naissants.
Puis Déborah sort un bandeau en cuir, je me laisse couvrir les yeux. Privée de vue, et donc protégée de ce qui a créé mon début de panique, je peux me laisser aller uniquement aux sensations... la suite n'est que plaisir, mélange subtil de brûlure et de douceur, de frissons et de sensualité.  




 
   

              
      
         


                                   

vendredi 15 juin 2012

6 Cap au Clair Obscur

Nous rejoignons M.Mike et clochette, M.Pierre et cassi, ainsi que M.TSM du réseau fessestivités et kyoki au Clair Obscur au Cap d'Agde pour la fête d'anniversaire de Deborah que lui a concocté maîtresse Haloha. Malheureusement nous avons manqué le début des fessestivités, (allez savoir pourquoi, je suis devenue incapable d'écrire ce mot correctement et reste à chaque fois surprise du sur-lignage par le correcteur d'orthographe!), Déborah a déjà les fesses bien rouges et chaudes, et cassi est à 4 pattes pratiquement nue recevant de la canne par M.Pierre...Cependant nous avons tout de même la chance de pouvoir occuper quelques minutes les lieux à notre aise et de profiter des différents postes de jeux avant qu'ils ne soient pris d'assaut à l'ouverture officielle, et ce sans être soumis à l'interdiction de faire des photos dans le club.
J'expérimente ainsi   entre autres la cage suspendue. Enfermée dans la cage à oiseau, suspendue en l'air, je découvre la sensation toute nouvelle, assez déconcertante d'ailleurs, de me sentir complètement à la merci d'autrui pour redescendre... Pas forcément désagréable, je dirais même que j'ai plutôt fort aimé cette sensation de vulnérabilité, bien que je refuse de l'admettre, (et il faut bien dire que grâce aux épais barreaux j'étais relativement à l'abri des fouets de ces messieurs dont les mains démangeaient...)


Puis je m'installe tant bien que mal dans le sling, les talons pris dans les étiers. Légèrement bercée, je me sens bien, merveilleusement bien, je serais bien restée là à me balancer... Plutôt que de me mettre mal à l'aise, l'indécence de la situation m'allume et ravive quelques fantasmes...D'autant plus que tu viens te placer entre mes jambes grandes ouvertes, frottant ton cuir contre moi, mes pensées s'envolent, comme ça doit être bon d'être prise comme ça, j'en oublierais presque que nous ne sommes pas seuls et que le club va bientôt ouvrir ses portes au public. Reprenons nos esprits, la soirée ne fait que commencer !
Nous buvons tous ensemble un verre à la santé des 27 ans de Déborah et nous répartissons dans le club pour jouer. Je vais enfin pouvoir tester le fouet enroulé... En effet ma blessure à l'épaule m'empêchant depuis septembre de lever le bras droit, a fortiori de le maintenir levé, même soutenu contraint, cela me privait de goûter aux plaisirs du fouet enroulé. Récemment, ma mobilité s'est légèrement améliorée, pas au point de pouvoir m'étirer comme je le voudrais, mais je parviens à lever le bras et à le passer au dessus de la tête.
Prenant les menottes coulissantes, tu m'attaches les mains à une sorte d'échelle accrochée au plafond, et j'attends, impatiente et réceptive... Tu fais claquer ton fouet... Je ne peux pas m'empêcher de rentrer la tête dans le cou, réaction réflexe devant ce son que j'aime et crains tant en même temps, à la fois promesse de plaisirs et menace de mordant. Je ferme les yeux , pour mieux appréhender ce qui va venir, me couper de ce qui m'entoure, entrer dans ma bulle, et puis je ne veux pas voir, je t'ai vu faire maintes fois, jusque là je n'ai pu qu'imaginer les sensations, cette fois je veux les ressentir. Ton fouet fend l'air avec un sifflement avant de m'atteindre, et s'enroule autour de moi, doucement d'abord, comme si tu prenais la mesure de ce que je pouvais supporter, puis tu accélères le mouvement et je sens ton fouet virevolter autour de moi et me caresser en rythme soutenu. Les coups se font de plus en plus forts, et malgré mon serre-taille, j'en ai parfois le souffle coupé, je me sens serrée si violemment que l'air est forcé bruyamment hors de mes poumons. Le corset me protège partiellement de la douleur, mais lorsque la lanière du fouet s'enroule autour de ma poitrine ou autour de mes jambes, pour finir sa course sur un sein à peine couvert, l'intérieur des bras ou entre les jambes, les sensations n'ont rien à envier au cinglant d'un coup donné de façon directe, m'arrachant à chaque fois un cri.
Les endorphines commençant sans doute à faire leur œuvre, l'envie d'être davantage accessible se fait pressante, je te demande de défaire le corset, tant pis pour mon bidon, mon désir de sentir le fouet directement sur ma peau est plus fort que ma peur du regard des autres...
Tu joues avec ma douleur et mon plaisir, dosant parfaitement les coups, suffisamment forts et rapprochés pour maintenir ma concentration et focaliser mon attention sur mes sensations, à l'exclusion de toute pensée parasite, tout en calmant par moments ton jeu pour me permettre de reprendre mon souffle, me laissant pantelante de plaisir, mais j'en demande encore...

Toute chose ayant une fin, la séance de fouet aussi... Je te soupçonne de me laisser légèrement sur ma faim afin que je puisse profiter du reste de la soirée. En effet ça ne tarde pas, M.TSM avait réservé une danse, comptant me faire goûter à ses nouveaux bijoux, 2 petits fouets jumeaux. A cet effet, il me fait appuyer les mains sur les poignées de la roue, de façon à ne pas être y accolée et de bien tendre mon fessier. Encore chaude de ma séance quelques instants plus tôt, je me concentre afin de replonger dans mon monde de sensations et de bien-être. Les coups à chaque fois doublés tombent par vagues, je serre les dents, je sais qu'il me faut un certain temps pour apprivoiser la douleur*, la laisser pénétrer en moi et la faire mienne, dès lors que j'aurai assimilé la cadence et adapté ma respiration, le plaisir sera au rendez-vous... Et la magie opère à nouveau, chaque série m'arrache des cris et m'emporte encore plus loin. Mon champ de conscience me permet à peine de m'apercevoir du changement de mains, puis plus tard du changement d'outil. Je n'ai aucun souvenir du qui-comment-pourquoi ça a pris fin ni de ce que j'ai bien pu dire ou faire les minutes suivantes.

La prochaine chose dont je me souviens, comme si je m'étais réveillée à ce moment là, je suis appuyée contre une sorte de table gynécologique, et tu me donnes de la canne. Mes fesses sont encore chaudes et ne craignent plus grand chose, je peux donc me consacrer aux vibrations que tu crées dans mon bas-ventre. Or mon attention est attirée par un groupe autour du sling. Une jolie soumise y est installée par son maître, puis menottée et gaggée, ravivant mes émois du début de soirée ce qui est loin de gâcher mon plaisir. Ainsi donc, à l'abri derrière mes cheveux qui retombent sans cesse devant les yeux (  je n'aime pas particulièrement faire la voyeuse et encore moins que ça se voie, même si j'imagine que s'ils ne voulaient pas être vus, ils feraient ça ailleurs qu'en club), une fois n'est pas coutume, je garde les yeux ouverts pour assister au spectacle de ce mini gang-bang (3 bonshommes à la queue-leu-leu  -sans faire de mauvais jeu de mots- c'est un gang pour moi,  les circonstances et l'association soumission-sling-baillon-etc en font un gang-bang à mes yeux). Je ne sais pas si je serais capable de faire ça, je ne sais même pas si j'en ai envie, mais mon imagination s'emballe et mon mon plaisir en est redoublé.


* Entendons-nous ! Quand je dis douleur... il ne faut rien exagérer ! A me relire, j'ai l'impression de parler de quelque chose d'horrible...Oui un coup de fouet ce n'est pas une caresse , mais malgré son cinglant, c'est une douleur totalement gérable, car ponctuelle. Le but ce n'est pas de couper les gens en deux, ni de gagner un concours de qui supportera le mieux ! N'oublions pas qu'il s'agit de plaisir...

lundi 4 juin 2012

0 Siham en bonne voie...

Découverte de notre belle campagne en vélo-rail

Evidemment, une première pause-pipi s'impose


Qu'il est bon de se laisser conduire...

           



En danseuse...


Encore??? Pas le temps de s'arrêter cette fois!


Tu n'as pas honte???
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