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vendredi 28 décembre 2012

2 Bonnes fesses de fin d'année et Joyeux Noël






               






mercredi 26 décembre 2012

0 Dernier Avent







                 
 


mercredi 19 décembre 2012

mardi 11 décembre 2012

0 Mais ça c'était avent

premier et deuxième dimanche en attendant le père Noel






mercredi 14 novembre 2012

2 L'histoire d'un tout petit petit capuchon... ou mon premier piercing


Lundi matin, je vais voir mon chéri, et je lui demande à brûle-pourpoint :
« Crois-tu que je pourrais avoir un piercing sur le capuchon ? »
Passablement surpris, celui-ci me répond : « Et pourquoi ne serait-ce pas possible ? »
« Tout simplement parce qu'il faut déjà le trouver !!! »
Ben oui, sans capuchon, difficile de faire un trou dedans... J'imaginais la scène : les jambes écartées sur une table genre gynéco, évidemment à moitié nue, un grand tatoué-clouté-masqué penché sur mon intimité cherchant désespérément dans mes replis avec une loupe (en fin de compte, la réalité n'est parfois pas très loin... la loupe en moins ?)
Et s'il me répondait après tout ça, non vous êtes trop mal foutue ???

Surpris il y a de quoi l'être... Mon clito et moi (capuchon compris) c'est une courte histoire... Je sais, d'habitude on dit longue histoire, sauf que pour moi, elle est courte, entendre récente. Comme si je n'étais pas née avec cet organe, je ne l'ai découvert que tout récemment. Pour être exacte, quelques années en arrière, c'était un no man's land, un pas-touche-ou-je-mords, plus gênant qu'autre chose...Petit à petit, j'ai apprivoisé la bête, effectivement le toucher direct me fait bondir, mais indirectement, hummm... Puis le coup de foudre pour la MI et je découvre enfin passé la quarantaine l'orgasme !

De là à percer le capuchon... il y a un monde.. D'autant que samedi soir, j'affirmais haut et fort : me percer le capuchon ? Moi ? Jamais ! (qui n'a jamais changé d'avis...???)

Lorsque lundi matin j'en parle à mon chéri, je suis déjà presque décidée... J'ai passé quelques heures sur la toile en compagnie de mes amis google et youtube, et je suis incollable sur la question ! Et surtout rassurée quant à l'intégrité de mon minuscule bouton, c'est juste un mauvais moment à passer... Ce qui me rassure pleinement, c'est que l'usage de la pince n'est pas préconisé, contrairement aux autres piercings génitaux. L'idée d'une pince posée sur le clito ou le capuchon m'est absolument inenvisageable, d'où ma réaction jusque là. 

D'où vient donc d'un coup cette volonté-là sortie de nulle part de me faire poser un vertical hood ?
J'avance un tas d'arguments qui en fait n'en sont pas... en vrac : ça ne fait pas si mal ou juste une seconde- je ne suis pas plus douillette qu'une autre- pas de marche en canard les jours suivants- cicatrisation rapide- pas de longue abstinence, encore que personnellement ce n'est pas grave- reprise rapide de la natation-  invisible-  pas de soucis d'épilation ou de rasage

Bien sûr, ce ne sont pas des raisons pour sauter le pas, et honnêtement, je n'ai pas encore de réponse à cette question, seulement quelques ébauches de réponse...

D'abord, et ça peut paraître bizarre pour qui me connaît d'entendre ça de ma bouche, je trouve ça joli... oui enfin, chez les autres, et autant que je puisse trouver un sexe de femme joli... Évidemment je ne le verrai pas souvent moi-même... Mais j'aime les bijoux, et un bijou à cet endroit là, visible que de quelques privilégiés, l'idée est séduisante...

Une façon peut-être aussi d'assumer cette partie de mon anatomie que je trouve beurk (à la fois dans le sens esthétique et gluant), je suis toujours aussi mal à l'aise face aux fluides corporels...

Un défi... Un auto-défi... Me prouver que je suis capable de faire ça, malgré ma peur tenace d'être estropiée, et surmonter mon malaise vis à vis du clito et du capuchon ! Malaise que je confonds parfois avec douleur.... Assez semblable à une lame froide sur la langue, en exponentiel... D'autres stimulations au contraire me font couler malgré moi, ça me coûte de gros efforts de concentration pour contrôler ces fuites...

Ça peut sembler idiot, mais je le fais aussi pour me rassurer, ou à l'inverse me conforter définitivement dans l'idée que je suis mal fichue de ce côté là ! Vous me direz une visite chez le gynécologue aurait pu faire l'affaire... Mouais... Je me demande si ces gens savent seulement que ça existe ? Depuis que la question me travaille, la seule chose qui a jamais intéressé les gynéco qui m'ont auscultée, c'est de savoir si la douleur était intolérable, sans jamais regarder de plus près... Ma dernière en date, lorsque j'ai parlé de fontaine m'a regardé comme si je venais de débouler d'un asile et m'a fait comprendre que la discussion était close. C'est gai !

Et puis il y a une raison plus floue, qui reste à développer, liée à mon impression de stagner... Je suis en pleine remise en question, de mes principes, de mon fonctionnement, de ma recherche...Les notions comme progresser (faire progresser sa soumise je n'arrive pas à mettre un sens sur ces mots), ou lâcher prise ont quelque chose de très vaporeux et indéfinissable à mes yeux. Et pourtant, là, j'ai l'impression de stagner... Question purement SM, je suis loin d'avoir fait le tour, c'est certain, mais j'ai réalisé à peu près tous mes fantasmes à ce niveau là, et hormis d'aller plus loin plus fort, ce qui n'est pas forcément souhaitable, j'ai l'impression de faire bis et repetita... D'un point de vue D/s, j'ai découvert des contrées merveilleuses que je ne connaissais pas, que je n'imaginais pas toucher du bout des doigts et qui pourtant encore me semblent parfois inaccessibles. Lorsque je compare la siham du début et ce que je suis maintenant, il est clair que je ne suis plus aussi timide, je m'affirme (parfis un peu trop..) et je ne stresse plus autant... Le regard des autres me pèse nettement moins, bien que physiquement je ne m'assume toujours pas... De ce côté, je ne progresse pas : je suis toujours hantée par la même peur du ridicule... Et du coup, ça me freine pour beaucoup de choses, je ne parviens pas à lâcher prise...

En écrivant ces lignes, je me rends compte en fait que le piercing est à l'inverse une façon de contrôler mon corps... Un lâcher prise face à la douleur l'humiliation etc soit, mais sous contrôle...C'est moi qui ai décidé cette transformation, toute petite certes, mais c'est mon choix, avec un effet immédiat (contrairement au régime...). Avoir peur d'une douleur et vaincre cette peur, simplement parce que moi je le veux.

Enfin bref, la question est à creuser, mais ma décision est prise !
Et quand je suis décidée, rien ne m'arrête... Sauf qu'on est lundi, et les perceurs, c'est comme les coiffeurs...
Mardi aprem nous partons donc direction Pertuis nous renseigner. Déjà savoir si mon machin microscopique est trouable. Le patron me rassure, c'est excessivement rare qu'on ne puisse pas percer un capuchon (évidemment il n'a pas vu le mien!) , et en cas tout simplement, on ne fait pas... Me dit que ça ne fait pas mal (comment qu'il peut en être si sûr, autant que je sache, il n'en n'a pas lui de clito? Si qu'il me répond, j'aime à dire que j'ai un clito de 17 cm, comprendra qui voudra lol) Pas besoin de rendez-vous, éventuellement un coup de fil pour prévenir la stagiaire si ça ne me dérange pas (plus on est de fous plus on rigole) Une course à faire, le coup de fil, c'est décidé on y retourne, , sans rien dire aux gamins qui nous voient partir en gloussant comme des ados.

On nous fait entrer dans une salle carrelée avec plusieurs tables et chaises d'examens, tableaux aux murs et paravents pour la discrétion, je me déshabille derrière l'un deux... Enfin derrière... du point de vue boutique c'est derrière ! Comme toujours quand je suis stressée et gênée, je parle à tord et à travers pour masquer ma gêne et détourner l'attention. Je suis invitée à monter sur la table centrale pendant qu'ils mettent un masque et des gants, de suite ça devient plus solennel... Je m'allonge, j'écarte les jambes avec appréhension, 3 paires d'yeux se penchent sur mon sexe... L'heure de vérité... Mademoiselle la stagiaire me nettoie avec une solution, je me retiens de bondir, effectivement ça semble petit mais faisable... ouf ! Je prends une grande inspiration, comme on apprend dans les cours d'accouchement sans douleur, histoire de me détendre et de me préparer à pire... Car déjà rien que ces attouchements pour mesurer et préparer la chose me faisaient serrer les dents, et il n'y a rien eu encore. Discussion entre le maître et l'élève de savoir qui va procéder...Les outils sont prêts, le moment redouté approche...je mets les mains sur les yeux, je ne veux pas voir, c'est idiot je ne verrai rien de toute façon !!! je veux rentrer dans ma bulle, les lumières bien que nécessaires sont agressives, tu me donnes ta main à serrer. Je ne sais plus à quel moment je pars à rire comme une folle, avant, après l'aiguille ? Un fou rire comme on peut en avoir parfois rien qu'à cause des nerfs, de l'angoisse, de la douleur, à cause du selfcontrol pour ne pas bouger et risquer une blessure (moi ou les officiants...) Mais les spasmes du rire n'aident pas pour placer le bijou, je vous avais prévenus, c'est petit petit petit... il faut que je reprenne la maîtrise, et c'est finalement là que je souffre le plus.. une fraction de seconde et puis c'est fini, on tripote encore un peu histoire de visser la boule et je suis libérée...

« Bienvenue au club ! »

Lorsque je descends de la table, une sensation bien connue m'envahit ! Toute excitée par ma propre audace, je l'ai vraiment fait !!!, je me sens libérée d'un lourd fardeau, emplie d'une nouvelle force et plutôt fière ! Une rapide vérification du papier sur le « plan de travail », je suis plus que satisfaite, je n'ai même pas coulé !!!

Par contre, suite à la tension mélangée à la nouvelle sensation, je n'ai pas arrêté de couler toute la soirée, au début j'essayais de contrôler, contractant au maximum clitoris et orteils (apparemment les orteils et le clitoris sont intimement liés chez moi), de peur d'avoir mal, et trouvant ça tout de même passablement ridicule de couler comme ça, pour trois fois rien... puis je finis par me détendre, laissant les petits jets de plaisir me surprendre, tantôt en me baissant, un coup en m'asseyant, tantôt en me levant...

Un seul regret, et encore... Pas de MI ce soir...

mardi 30 octobre 2012

1 Cire encore!!!



lundi 22 octobre 2012

0 recrutement fessestory saison 2

Le site Fessestivites.com recrute pour 2013 des COUPLES pour les week-ends Fessestory suivants :
 Fessestory ABDL (3 Couples)
 Fessestory BDSM (3 Couples)
 Fessestory TV et trans (3 Couples)
 Fessestory discipline conjugale (3 Couples)

 INFOS :
 - Ces couples sont invités (gite, couverts, apéro, petit déj...) du vendredi soir au dimanche midi inclus.
 - Ce n'est pas sexe ni échangiste
 - Tout est proposé rien n'est imposé.
 - C'est enrichissant et très amusant
 - Tout est diffusé en webcam

 CONTACT : Si l'idée de participer au prochain week-end vous séduit, adressez un email à contact@fessestivites.com

 Les photos des précédents fessestory sont ICI
et
 les vidéos des précédents fessestory sont ICI

mercredi 1 août 2012

1 Pique-nique avec fessestivités

[Pictures by Deborah]

L'été est là, annonçant le retour des pique-nique chez les TSM. Trois fois nous avons été l'année dernière, et jamais nous avons regretté notre participation, bien au contraire... Outre l'ambiance joviale et très décontractée, c'est particulièrement agréable de jouer dehors, et cela ouvre des possibilités que l'on a pas à l'intérieur...

Lorsque nous arrivons les grands derniers comme d'habitude, l'apéro est déjà bien commencé et tout le monde est au tour de la grande table installée dans le jardin. C'est avec grand plaisir que nous retrouvons nos amis, et rencontrons quelques visages nouveaux ou croisés au détour d'un blog. Dans le désordre, j'en oublie sûrement, M.TSM himself et Dame Miraë, Taquine-kira, Déborah, M.Jduroc et LeaLibellule, M.Mike et Clochette, Xtia et Marina, Nadia et Maud, MTS et Falbala, M.Lucky et Kim, M.Bond,Dame Mega, M.Pierick et Piona, Kaärllÿnns et Kaälynnka...

Le thème est en principe le shibari, et nos 3 experts nous dévoilent quelques ficelles lors d'un atelier à l'ombre des arbres. Je m'assieds avec un café, en attendant que les choses se corsent. Ce n'est pas que le bondage ne m'intéresse pas, bien que ce ne soit pas une grande passion non plus, j'aime sentir les cordes qui glissent sur la peau, et la sensation de contrainte, mais j'ai mes périodes où j'aime ça et d'autres moins... En occurrence, c'est trop statique pour moi, surtout en ce moment, où mes pensées s'envolent très rapidement vers mes tristes préoccupations... Et puis ma blessure à l'épaule ne me permet toujours pas de passer le bras à l'arrière, alors la question de ma participation ne se pose même pas... Je me sens parfaitement inutile, à la limite de me demander ce que je fous là, mais je connaissais le thème alors j'attends.

Et ma patience ne tarde pas à être récompensée. A l'aide des menottes, tu m'attaches les mains à une haute branche, et tu sors ton fouet. Bizarrement, j'ai la sensation (très improbable !!!) d'être punie, (de m'être ennuyée???) , c'est peut-être ce qui me permet de rentrer quasiment instantanément dans ma bulle et de faire abstraction si facilement des autres. Tour à tour cinglant puis caressant, ton fouet me fait vite oublier mon ennui momentané. Il fait chaud, j'ai de plus en plus chaud, je glisse dans mes chaussures, je glisse dans mes menottes, mais de temps en temps un petit zef m'apporte comme une petite bouffée de fraîcheur rédemptrice, noyant le sifflement du fouet annonçant le prochain coup. Entre les coups enroulés qui serrent les côtes forçant l'air brutalement hors de mes poumons, et la douleur des coups directs qui me coupent le sifflet souffle, je suis contrainte de respirer en haletant bruyamment, contribuant à m'entraîner dans un état proche de de la transe.
     

Être spectatrice ce n'est pas ma tasse de thé, aussi je n'ai pas bien suivi toutes les animations notamment de shibari. Malgré tout, M.Jduroc et Lea on su me faire partager lors de très belles suspensions leur plaisir palpable dans des moments de douceur et de ferme complicité quasi magiques...

Plus tard, au cours de la soirée, j'ai le plaisir de goûter à une bonne grosse queue noire... Assez grosse pour que toutes les gourmandes... Merci Marina  pour ce délire collectif !

Lorsque M.TSM me propose un duo de cravache en musique, je me mets à genoux sur un oreiller sur la chaise de contrainte, pas contrainte du tout, et lui présente mes fesses! Aïe ! Sal... mais c'est qu'il y va de bon cœur le bougre !!! Tu te places innocemment devant moi et me tires les cheveux en arrière ..Chose à ne pas faire, ça me plonge instantanément dans un état d'excitation incroyable...par provoc, je t'attrape le bras et te mords... gentiment... ta réaction ne se fait pas attendre, vlan ! une gifle... Commence alors un jeu à trois. Plus M.TSM frappe fort, plus je cherche à te mordre, (et parfois j'y arrive), plus tu me gifles et me tires les cheveux, et plus mon excitation monte. Pendant que M.TSM tape en rythme sur mes fesses, tu me donnes un doigt à sucer, que j'aspire avidement, en te regardant bien dans les yeux, mais je me sens chienne et te dis que je sucerais bien autre chose en pointant ta braguette juste en face de ma bouche... Heureusement tu t'es retenu, je crois qu'au point où j'en étais j'aurais été capable de te sucer devant tout le monde !!! 

Alors tu prends la place de M.TSM pour jouer longuement sur mon fessier avec les cannes. Chaude à tous les points de vue, les vibrations dans mon bas ventre et les endorphines ont raison de moi, je me laisse enfin submerger et le plaisir s'écoule en flots liquide entre mes jambes.





Après l'explosion de plaisir, c'est le contre-coup, je fonds en larmes. La tension accumulée des derniers jours (voire mois), les efforts pour maîtriser mon angoisse, la fatigue, la honte de couler ainsi devant tout le monde... (Ben oui, je n'arrive toujours pas à trouver ça bien !!! Toujours mon problème avec les fluides, blocage de mon éducation, je ne sais pas, mais jouir devant quelqu'un me pèse, mais alors lâcher des flots de liquide... après coup je me sens honteuse) La digue que j'avais construite pour me protéger contre l'adversité s'écroule, et c'est les grandes eaux, mais c'est aussi un grand soulagement, comme si je me libérais d'un poids...

Bien plus tard, le monde étant parti se coucher, tu nous proposes à Deb et moi pour finir la soirée en beauté, d'autant plus que Deb eu égard à sa Maîtresse absente n'avait pas joué du tout, d'essayer une de mes bougies faites maison sous le regard et l'appareil photo bienveillants de Dame Mega.


mercredi 27 juin 2012

3 JeuX de cire

Déborah étant une fervente adepte des jeux de cire, sa maîtresse lui propose d'essayer une superbe bougie rouge... Voir et entendre Déborah gémir et se tortiller, de plaisir bien sûr, mais aussi en réaction à la chaleur, me donne l'envie d'y goûter à mon tour, j'hésite, et si c'est trop chaud pour moi ? De plus je suis fatiguée et porte encore les stigmates de la soirée la veille au Clair Obscur... Mais je n'ai pas envie que la soirée se termine, je me décide à essayer...

Allongée sur le drap au sol, les bras croisés devant moi, je pose ma tête et ferme les yeux, m'efforçant d'inspirer calmement, attendant la première coulée avec quelque peu d'appréhension tout de même...

J'attends, concentrée... Quand la première coulée me touche, la chaleur me surprend malgré tout, par réflexe je redresse la tête, et à travers mes paupières je vois les ombres que projette la flamme sur le canapé en face de moi, immenses et redoutables. Tous mes signaux de survie se mettent en branle, j'ai l'impression d'être prise dans les flammes, je suis au bord de la panique, je n'arrive plus à respirer, tout devient confus, je n'ai qu'une envie, me lever, fuir, plonger dans la baignoire, je me souviens d'avoir pensé « mes cheveux !!! »... Avec fermeté tu me raisonnes, le reflet de la flamme est démesurément grossi, tout va bien, Déborah me prend la main tendrement et me rassure, tant et si bien que je reprends doucement le contrôle sur ma respiration ainsi que la maîtrise sur les sanglots naissants.
Puis Déborah sort un bandeau en cuir, je me laisse couvrir les yeux. Privée de vue, et donc protégée de ce qui a créé mon début de panique, je peux me laisser aller uniquement aux sensations... la suite n'est que plaisir, mélange subtil de brûlure et de douceur, de frissons et de sensualité.  




 
   

              
      
         


                                   
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