Entre supplices et grivoiseries
Les péripéties de deux complices
Cherchant le plaisir dans la volupté ou le vice
Partenaires dans la vie depuis 26 ans
Mesurant la solidité de nos sentiments
Explorons ensemble notre sexualité alternative
Afin de satisfaire nos désirs et fantasmes respectifs
À deux repoussons nos tabous, interdits et peurs
Transcendons la douleur
Avec humilité et tolérance
Dans une mutuelle confiance
Tourmentor et siham
vendredi 28 décembre 2012
mercredi 26 décembre 2012
mercredi 19 décembre 2012
mardi 11 décembre 2012
mercredi 14 novembre 2012
2 L'histoire d'un tout petit petit capuchon... ou mon premier piercing
Lundi matin, je vais voir mon chéri,
et je lui demande à brûle-pourpoint :
« Crois-tu que je pourrais avoir
un piercing sur le capuchon ? »
Passablement surpris, celui-ci me
répond : « Et pourquoi ne serait-ce pas possible ? »
« Tout simplement parce qu'il
faut déjà le trouver !!! »
Ben oui, sans capuchon, difficile de
faire un trou dedans... J'imaginais la scène : les jambes
écartées sur une table genre gynéco, évidemment à moitié nue,
un grand tatoué-clouté-masqué penché sur mon intimité cherchant
désespérément dans mes replis avec une loupe (en fin de compte, la
réalité n'est parfois pas très loin... la loupe en moins ?)
Et s'il me répondait après tout ça,
non vous êtes trop mal foutue ???
Surpris il y a de quoi l'être... Mon
clito et moi (capuchon compris) c'est une courte histoire... Je sais,
d'habitude on dit longue histoire, sauf que pour moi, elle est
courte, entendre récente. Comme si je n'étais pas née avec cet
organe, je ne l'ai découvert que tout récemment. Pour être
exacte, quelques années en arrière, c'était un no man's land, un
pas-touche-ou-je-mords, plus gênant qu'autre chose...Petit à petit,
j'ai apprivoisé la bête, effectivement le toucher direct me fait
bondir, mais indirectement, hummm... Puis le coup de foudre pour la
MI et je découvre enfin passé la quarantaine l'orgasme !
De là à percer le capuchon... il y a
un monde.. D'autant que samedi soir, j'affirmais haut et fort :
me percer le capuchon ? Moi ? Jamais ! (qui n'a jamais
changé d'avis...???)
Lorsque lundi matin j'en parle à mon
chéri, je suis déjà presque décidée... J'ai passé quelques
heures sur la toile en compagnie de mes amis google et youtube, et je
suis incollable sur la question ! Et surtout rassurée quant à
l'intégrité de mon minuscule bouton, c'est juste un mauvais moment
à passer... Ce qui me rassure pleinement, c'est que l'usage de la
pince n'est pas préconisé, contrairement aux autres piercings
génitaux. L'idée d'une pince posée sur le clito ou le capuchon
m'est absolument inenvisageable, d'où ma réaction jusque là.
D'où vient donc d'un coup cette
volonté-là sortie de nulle part de me faire poser un vertical
hood ?
J'avance un tas d'arguments qui en fait
n'en sont pas... en vrac : ça ne fait pas si mal ou juste une
seconde- je ne suis pas plus douillette qu'une autre- pas de marche
en canard les jours suivants- cicatrisation rapide- pas de longue
abstinence, encore que personnellement ce n'est pas grave- reprise
rapide de la natation- invisible- pas de soucis d'épilation ou de
rasage
Bien sûr, ce ne sont pas des raisons
pour sauter le pas, et honnêtement, je n'ai pas encore de réponse à
cette question, seulement quelques ébauches de réponse...
D'abord, et ça peut paraître bizarre
pour qui me connaît d'entendre ça de ma bouche, je trouve ça
joli... oui enfin, chez les autres, et autant que je puisse trouver
un sexe de femme joli... Évidemment je ne le verrai pas souvent
moi-même... Mais j'aime les bijoux, et un bijou à cet endroit là,
visible que de quelques privilégiés, l'idée est séduisante...
Une façon peut-être aussi d'assumer
cette partie de mon anatomie que je trouve beurk (à la fois dans le
sens esthétique et gluant), je suis toujours aussi mal à l'aise
face aux fluides corporels...
Un défi... Un auto-défi... Me prouver
que je suis capable de faire ça, malgré ma peur tenace d'être
estropiée, et surmonter mon malaise vis à vis du clito et du
capuchon ! Malaise que je confonds parfois avec douleur....
Assez semblable à une lame froide sur la langue, en exponentiel...
D'autres stimulations au contraire me font couler malgré moi, ça me
coûte de gros efforts de concentration pour contrôler ces fuites...
Ça peut sembler idiot, mais je le fais
aussi pour me rassurer, ou à l'inverse me conforter définitivement
dans l'idée que je suis mal fichue de ce côté là ! Vous me
direz une visite chez le gynécologue aurait pu faire l'affaire...
Mouais... Je me demande si ces gens savent seulement que ça existe ?
Depuis que la question me travaille, la seule chose qui a jamais
intéressé les gynéco qui m'ont auscultée, c'est de savoir si la
douleur était intolérable, sans jamais regarder de plus près... Ma
dernière en date, lorsque j'ai parlé de fontaine m'a regardé comme
si je venais de débouler d'un asile et m'a fait comprendre que la
discussion était close. C'est gai !
Et puis il y a une raison plus floue,
qui reste à développer, liée à mon impression de stagner... Je
suis en pleine remise en question, de mes principes, de mon
fonctionnement, de ma recherche...Les notions comme progresser
(faire progresser sa soumise je n'arrive pas à mettre un sens sur
ces mots), ou lâcher prise ont quelque chose de très vaporeux et
indéfinissable à mes yeux. Et pourtant, là, j'ai l'impression de
stagner... Question purement SM, je suis loin d'avoir fait le tour,
c'est certain, mais j'ai réalisé à peu près tous mes fantasmes à
ce niveau là, et hormis d'aller plus loin plus fort, ce qui n'est
pas forcément souhaitable, j'ai l'impression de faire bis et
repetita... D'un point de vue D/s, j'ai découvert des contrées
merveilleuses que je ne connaissais pas, que je n'imaginais pas
toucher du bout des doigts et qui pourtant encore me semblent parfois
inaccessibles. Lorsque je compare la siham du début et ce que je
suis maintenant, il est clair que je ne suis plus aussi timide, je
m'affirme (parfis un peu trop..) et je ne stresse plus autant... Le
regard des autres me pèse nettement moins, bien que physiquement je
ne m'assume toujours pas... De ce côté, je ne progresse pas :
je suis toujours hantée par la même peur du ridicule... Et du coup,
ça me freine pour beaucoup de choses, je ne parviens pas à lâcher
prise...
En écrivant ces lignes, je me rends
compte en fait que le piercing est à l'inverse une façon de
contrôler mon corps... Un lâcher prise face à la douleur
l'humiliation etc soit, mais sous contrôle...C'est moi qui ai décidé
cette transformation, toute petite certes, mais c'est mon choix, avec
un effet immédiat (contrairement au régime...). Avoir peur d'une
douleur et vaincre cette peur, simplement parce que moi je le veux.
Enfin bref, la question est à creuser,
mais ma décision est prise !
Et quand je suis décidée, rien ne
m'arrête... Sauf qu'on est lundi, et les perceurs, c'est comme les
coiffeurs...
Mardi aprem nous partons donc direction
Pertuis nous renseigner. Déjà savoir si mon machin microscopique
est trouable. Le patron me rassure, c'est excessivement rare qu'on ne
puisse pas percer un capuchon (évidemment il n'a pas vu le mien!) ,
et en cas tout simplement, on ne fait pas... Me dit que ça ne fait
pas mal (comment qu'il peut en être si sûr, autant que je sache, il
n'en n'a pas lui de clito? Si qu'il me répond, j'aime à dire que
j'ai un clito de 17 cm, comprendra qui voudra lol) Pas besoin de
rendez-vous, éventuellement un coup de fil pour prévenir la
stagiaire si ça ne me dérange pas (plus on est de fous plus on
rigole) Une course à faire, le coup de fil, c'est décidé on y
retourne, , sans rien dire aux gamins qui nous
voient partir en gloussant comme des ados.
On nous fait entrer dans une salle
carrelée avec plusieurs tables et chaises d'examens, tableaux aux
murs et paravents pour la discrétion, je me déshabille derrière
l'un deux... Enfin derrière... du point de vue boutique c'est
derrière ! Comme toujours quand je suis stressée et gênée,
je parle à tord et à travers pour masquer ma gêne et détourner
l'attention. Je suis invitée à monter sur la table centrale pendant
qu'ils mettent un masque et des gants, de suite ça devient plus
solennel... Je m'allonge, j'écarte les jambes avec appréhension, 3
paires d'yeux se penchent sur mon sexe... L'heure de vérité...
Mademoiselle la stagiaire me nettoie avec une solution, je me retiens
de bondir, effectivement ça semble petit mais faisable... ouf !
Je prends une grande inspiration, comme on apprend dans les cours
d'accouchement sans douleur, histoire de me détendre et de me
préparer à pire... Car déjà rien que ces attouchements pour
mesurer et préparer la chose me faisaient serrer les dents, et il
n'y a rien eu encore. Discussion entre le maître et l'élève de
savoir qui va procéder...Les outils sont prêts, le moment redouté
approche...je mets les mains sur les yeux, je ne veux pas voir, c'est
idiot je ne verrai rien de toute façon !!! je veux rentrer dans
ma bulle, les lumières bien que nécessaires sont agressives, tu me
donnes ta main à serrer. Je ne sais plus à quel moment je pars à
rire comme une folle, avant, après l'aiguille ? Un fou rire
comme on peut en avoir parfois rien qu'à cause des nerfs, de
l'angoisse, de la douleur, à cause du selfcontrol pour ne pas
bouger et risquer une blessure (moi ou les officiants...) Mais les
spasmes du rire n'aident pas pour placer le bijou, je vous avais
prévenus, c'est petit petit petit... il faut que je reprenne la
maîtrise, et c'est finalement là que je souffre le plus.. une
fraction de seconde et puis c'est fini, on tripote encore un peu
histoire de visser la boule et je suis libérée...
« Bienvenue au club ! »
Lorsque je descends de la table, une
sensation bien connue m'envahit ! Toute excitée par ma propre
audace, je l'ai vraiment fait !!!, je me sens libérée d'un
lourd fardeau, emplie d'une nouvelle force et plutôt fière !
Une rapide vérification du papier sur le « plan de travail »,
je suis plus que satisfaite, je n'ai même pas coulé !!!
Par contre, suite à la tension
mélangée à la nouvelle sensation, je n'ai pas arrêté de couler
toute la soirée, au début j'essayais de contrôler, contractant au
maximum clitoris et orteils (apparemment les orteils et le clitoris
sont intimement liés chez moi), de peur d'avoir mal, et trouvant ça
tout de même passablement ridicule de couler comme ça, pour trois
fois rien... puis je finis par me détendre, laissant les petits
jets de plaisir me surprendre, tantôt en me baissant, un coup en
m'asseyant, tantôt en me levant...
Un seul regret, et encore... Pas de MI
ce soir...
mardi 30 octobre 2012
lundi 22 octobre 2012
0 recrutement fessestory saison 2
Le site Fessestivites.com recrute pour 2013 des COUPLES pour les week-ends Fessestory suivants :
Fessestory ABDL (3 Couples)
Fessestory BDSM (3 Couples)
Fessestory TV et trans (3 Couples)
Fessestory discipline conjugale (3 Couples)
INFOS :
- Ces couples sont invités (gite, couverts, apéro, petit déj...) du vendredi soir au dimanche midi inclus.
- Ce n'est pas sexe ni échangiste
- Tout est proposé rien n'est imposé.
- C'est enrichissant et très amusant
- Tout est diffusé en webcam
CONTACT : Si l'idée de participer au prochain week-end vous séduit, adressez un email à contact@fessestivites.com
Les photos des précédents fessestory sont ICI
et
les vidéos des précédents fessestory sont ICI
Fessestory ABDL (3 Couples)
Fessestory BDSM (3 Couples)
Fessestory TV et trans (3 Couples)
Fessestory discipline conjugale (3 Couples)
INFOS :
- Ces couples sont invités (gite, couverts, apéro, petit déj...) du vendredi soir au dimanche midi inclus.
- Ce n'est pas sexe ni échangiste
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- C'est enrichissant et très amusant
- Tout est diffusé en webcam
CONTACT : Si l'idée de participer au prochain week-end vous séduit, adressez un email à contact@fessestivites.com
Les photos des précédents fessestory sont ICI
et
les vidéos des précédents fessestory sont ICI
mercredi 1 août 2012
1 Pique-nique avec fessestivités
[Pictures by Deborah]
L'été est là, annonçant le retour des pique-nique chez les TSM. Trois fois nous avons été l'année dernière, et jamais nous avons regretté notre participation, bien au contraire... Outre l'ambiance joviale et très décontractée, c'est particulièrement agréable de jouer dehors, et cela ouvre des possibilités que l'on a pas à l'intérieur...
Lorsque nous arrivons les grands derniers comme d'habitude, l'apéro est déjà bien commencé et tout le monde est au tour de la grande table installée dans le jardin. C'est avec grand plaisir que nous retrouvons nos amis, et rencontrons quelques visages nouveaux ou croisés au détour d'un blog. Dans le désordre, j'en oublie sûrement, M.TSM himself et Dame Miraë, Taquine-kira, Déborah, M.Jduroc et LeaLibellule, M.Mike et Clochette, Xtia et Marina, Nadia et Maud, MTS et Falbala, M.Lucky et Kim, M.Bond,Dame Mega, M.Pierick et Piona, Kaärllÿnns et Kaälynnka...
Le thème est en principe le shibari, et nos 3 experts nous dévoilent quelques ficelles lors d'un atelier à l'ombre des arbres. Je m'assieds avec un café, en attendant que les choses se corsent. Ce n'est pas que le bondage ne m'intéresse pas, bien que ce ne soit pas une grande passion non plus, j'aime sentir les cordes qui glissent sur la peau, et la sensation de contrainte, mais j'ai mes périodes où j'aime ça et d'autres moins... En occurrence, c'est trop statique pour moi, surtout en ce moment, où mes pensées s'envolent très rapidement vers mes tristes préoccupations... Et puis ma blessure à l'épaule ne me permet toujours pas de passer le bras à l'arrière, alors la question de ma participation ne se pose même pas... Je me sens parfaitement inutile, à la limite de me demander ce que je fous là, mais je connaissais le thème alors j'attends.
Et ma patience ne tarde pas à être récompensée. A l'aide des menottes, tu m'attaches les mains à une haute branche, et tu sors ton fouet. Bizarrement, j'ai la sensation (très improbable !!!) d'être punie, (de m'être ennuyée???) , c'est peut-être ce qui me permet de rentrer quasiment instantanément dans ma bulle et de faire abstraction si facilement des autres. Tour à tour cinglant puis caressant, ton fouet me fait vite oublier mon ennui momentané. Il fait chaud, j'ai de plus en plus chaud, je glisse dans mes chaussures, je glisse dans mes menottes, mais de temps en temps un petit zef m'apporte comme une petite bouffée de fraîcheur rédemptrice, noyant le sifflement du fouet annonçant le prochain coup. Entre les coups enroulés qui serrent les côtes forçant l'air brutalement hors de mes poumons, et la douleur des coups directs qui me coupent lesifflet souffle, je suis contrainte de respirer en haletant bruyamment, contribuant à m'entraîner dans un état proche de de la transe.
Et ma patience ne tarde pas à être récompensée. A l'aide des menottes, tu m'attaches les mains à une haute branche, et tu sors ton fouet. Bizarrement, j'ai la sensation (très improbable !!!) d'être punie, (de m'être ennuyée???) , c'est peut-être ce qui me permet de rentrer quasiment instantanément dans ma bulle et de faire abstraction si facilement des autres. Tour à tour cinglant puis caressant, ton fouet me fait vite oublier mon ennui momentané. Il fait chaud, j'ai de plus en plus chaud, je glisse dans mes chaussures, je glisse dans mes menottes, mais de temps en temps un petit zef m'apporte comme une petite bouffée de fraîcheur rédemptrice, noyant le sifflement du fouet annonçant le prochain coup. Entre les coups enroulés qui serrent les côtes forçant l'air brutalement hors de mes poumons, et la douleur des coups directs qui me coupent le
Être spectatrice ce n'est pas ma tasse de thé, aussi je n'ai pas bien suivi toutes les animations notamment de shibari. Malgré tout, M.Jduroc et Lea on su me faire partager lors de très belles suspensions leur plaisir palpable dans des moments de douceur et de ferme complicité quasi magiques...
Plus tard, au cours de la soirée, j'ai le plaisir de goûter à une bonne grosse queue noire... Assez grosse pour que toutes les gourmandes... Merci Marina pour ce délire collectif !
Lorsque M.TSM me propose un duo de cravache en musique, je me mets à genoux sur un oreiller sur la chaise de contrainte, pas contrainte du tout, et lui présente mes fesses! Aïe ! Sal... mais c'est qu'il y va de bon cœur le bougre !!! Tu te places innocemment devant moi et me tires les cheveux en arrière ..Chose à ne pas faire, ça me plonge instantanément dans un état d'excitation incroyable...par provoc, je t'attrape le bras et te mords... gentiment... ta réaction ne se fait pas attendre, vlan ! une gifle... Commence alors un jeu à trois. Plus M.TSM frappe fort, plus je cherche à te mordre, (et parfois j'y arrive), plus tu me gifles et me tires les cheveux, et plus mon excitation monte. Pendant que M.TSM tape en rythme sur mes fesses, tu me donnes un doigt à sucer, que j'aspire avidement, en te regardant bien dans les yeux, mais je me sens chienne et te dis que je sucerais bien autre chose en pointant ta braguette juste en face de ma bouche... Heureusement tu t'es retenu, je crois qu'au point où j'en étais j'aurais été capable de te sucer devant tout le monde !!!
Alors tu prends la place de M.TSM pour jouer longuement sur mon fessier avec les cannes. Chaude à tous les points de vue, les vibrations dans mon bas ventre et les endorphines ont raison de moi, je me laisse enfin submerger et le plaisir s'écoule en flots liquide entre mes jambes.
Après l'explosion de plaisir, c'est le contre-coup, je fonds en larmes. La tension accumulée des derniers jours (voire mois), les efforts pour maîtriser mon angoisse, la fatigue, la honte de couler ainsi devant tout le monde... (Ben oui, je n'arrive toujours pas à trouver ça bien !!! Toujours mon problème avec les fluides, blocage de mon éducation, je ne sais pas, mais jouir devant quelqu'un me pèse, mais alors lâcher des flots de liquide... après coup je me sens honteuse) La digue que j'avais construite pour me protéger contre l'adversité s'écroule, et c'est les grandes eaux, mais c'est aussi un grand soulagement, comme si je me libérais d'un poids...
Bien plus tard, le monde étant parti se coucher, tu nous proposes à Deb et moi pour finir la soirée en beauté, d'autant plus que Deb eu égard à sa Maîtresse absente n'avait pas joué du tout, d'essayer une de mes bougies faites maison sous le regard et l'appareil photo bienveillants de Dame Mega.
Bien plus tard, le monde étant parti se coucher, tu nous proposes à Deb et moi pour finir la soirée en beauté, d'autant plus que Deb eu égard à sa Maîtresse absente n'avait pas joué du tout, d'essayer une de mes bougies faites maison sous le regard et l'appareil photo bienveillants de Dame Mega.
mercredi 27 juin 2012
3 JeuX de cire
Déborah étant une fervente adepte des jeux de cire, sa maîtresse lui propose d'essayer une superbe bougie rouge... Voir et entendre Déborah gémir et se tortiller, de plaisir bien sûr, mais aussi en réaction à la chaleur, me donne l'envie d'y goûter à mon tour, j'hésite, et si c'est trop chaud pour moi ? De plus je suis fatiguée et porte encore les stigmates de la soirée la veille au Clair Obscur... Mais je n'ai pas envie que la soirée se termine, je me décide à essayer...
Allongée sur le drap au sol, les bras croisés devant moi, je pose ma tête et ferme les yeux, m'efforçant d'inspirer calmement, attendant la première coulée avec quelque peu d'appréhension tout de même...
Puis Déborah sort un bandeau en cuir, je me laisse couvrir les yeux. Privée de vue, et donc protégée de ce qui a créé mon début de panique, je peux me laisser aller uniquement aux sensations... la suite n'est que plaisir, mélange subtil de brûlure et de douceur, de frissons et de sensualité.
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