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dimanche 16 octobre 2011

3 Une pouliche bien accrochée


Nous sommes  en semaine, un mardi soir et n'avions pas "joué" de tout le WE,  mes obligations m'ayant retenu ailleurs.
Je suis plutôt fatigué, il est déjà bien tard (près de minuit)  je me suis levé tôt et je dois me lever tôt aussi demain... Bref j'avais pas spécialement une envie folle de jouer. Mais je sens bien que tu as envie que je m’occupe de toi. Est-ce parce que je sais que quand nous somme fatigués que ça se passe pas au mieux que je me suis dit ce soir je vais y aller tout doux ou simplement parce j’étais plutôt calme et serein mais toujours est-il que j’ai attaqué cette séance avec un calme plus que souverain. Je me suis dit : pas de coups, ce sera une séance contrainte, soumission et sexe. Plus tôt dans la soirée une évocation sur la longueur de tes cheveux m’avait convaincu que cette fois je pourrai bien les attacher avec une corde. Je sais aussi que tu en as envie depuis longtemps.
Pendant que tu te prépares je mets en place l'anneau aux crochets de la poutre, je choisis la corde, d'un plus petit diamètre, avec laquelle je compte attacher ta chevelure. Tu as mis  ta jupe fuseau  et ton boléro à agrafes noirs.
J'entreprends donc d'essayer d'attacher la corde à  tes cheveux mais  je ne sais pas vraiment comment m'y prendre. Je fais plusieurs essais pas concluants du tout et je finis par faire une boucle à tes cheveux et à faire coulisser la corde à l'intérieur, l'ensemble se serre enfin  lorsque je tire dessus ... yes!!!   le plus dur et fait . J'avoue que je suis satisfait de mon œuvreJ'avais pas confiance en la tenue des cheveux dans la corde.  Et c'est ainsi que je relie ta belle tête de soumise  à l'anneau


(il en faut peu, pour être heureux ..vraiment très peu pour être heureux...Lol)Voilà donc que ta tête est immobilisée: ainsi tu es retenue par les cheveux sans possibilité de fuite... Je commence à jouer avec toi comme un chat avec une souris , de petite tapes,  quelques petites gifles, un peu d'humiliation, je te  traite de noms d'oiseaux, tel que ma belle petite salope soumise. 
J'aime bien utiliser le mot "petite" , bien évidement pas au sens physique du terme mais parce qu'il te rabaisse un petit peu plus, tout en conservant un sens mignon, tu en deviens insignifiante et seuls comptent mes envies, les tiennes ne m'intéressent plus...
C'est ainsi que j'en profite pour t'obliger à m'avaler jusqu'à la garde. Tu m'as totalement remis le pouvoir de décision et j'en use et en abuse. J'aime sentir ce pouvoir... surtout  te le faire ressentir à toi comme  en te laissant reprendre ton souffle après avoir enfoncé mon sexe jusqu'au fond de ta gorge .

  Je n'ai pas envie d'arrêter là le processus de ta soumission et me retiens d'éjaculer pour  faire monter encore plus l'excitation ...


Je décide de te mettre le mors et te positionne sur le chevalet , non pas pour que tu soie plus à l'aise même si c'est le cas, car tu peux  t'y appuyer, mais plus pour faire relever  tes fesses et  avoir un accès à tes deux orifices, tu es a la bonne hauteur la corde tendue .........et  la photo est belle

 Je m' amuse ainsi avec toi, et de mon manche à balai, dont je me sers comme d'une  canne, je sais maintenant bien doser la force et la façon de l'appliquer pour te faire monter. Sa rudesse n'a d'égale que la puissance avec laquelle monte ton plaisir au creux de ton intimité, par les vibrations répétées qui vont jusqu'a ton clitoris, je sais que tu es au bord de la jouissance. Mais je choisis de suspendre pour l'instant  ce châtiment bien trop doux...
Je l'avais prévu, car si j'ai été chercher l'autre coffre à malices c'est bien pour le hook ..mais quelle joie pour moi lorsqu'au bout d'un moment, alors que je viens de t'ôter le mors je t'entends prononcer ces quelques mots de ta bouche encore engourdie, et  bien que la voix soit hésitante je t'entends clairement :" mets moi le hook"

Tu avais mis une culotte fendue, mais au lieu de passer par la fente, je préfère passer le hook par l'ouverture supérieure pour te l'enfoncer dans l'anus (bien entendu j'avais pris la précaution de lubrifier la boule)
Je défais  la corde qui te relie à l'anneau du plafond et la passe  dans le petit anneau du crochet anal. Ainsi ta chevelure et le hook sont reliés. Il ne me reste plus qu'à tirer dessus  à l'aide d'une autre corde reliée à l'anneau du plafond (pour ceux qui n'ont pas compris voir photo ci- dessus...;-)) Tu es ainsi bien accrochée! Je suis aux anges... ou au diable comme on voudra...
 Quelques coup biens appliqués vont encore faire monter ton excitation d'un cran. Puis je repasse devant toi pour que tu me suces de nouveau. Les mouvements de va et vient tirent sur tes cheveux  et sur la corde  reliée à l'anneau. C'est un  intense plaisir cérébral pour moi que de te faire réaliser en fait ce que tu attendais depuis  longtemps.

Mais la séance n'est pas terminée,  je repasse derrière toi pour te pénétrer avec le double dong alors que le hook est toujours en place. Tu te frottes sur le chevalet pour faire participer ton clitoris à  la fête .

Au bout d'un moment je retire le double dong pour  te le faire sucer, et avec  le manche à balai j'applique des coups cadencés et rapides sur tes fesses... de plus en plus rapides. Pour atteindre l'effet souhaité, c'est à dire te procurer un maximum de vibrations dans toute la partie génitale jusqu'au hook, je tiens le balai par ses extrémités et applique les coups en remontant. Pour la  première fois tu te laisses aller à jouir sous les coups,  en coulant sur le carrelage .



C'est après  seulement que je te pénètre, je sens la boule du crochet anal au travers de ta paroi vaginale et
c'est ainsi que je prendrai mon plaisir. Puis je joue encore  avec ton slip en remuant le hook
Je suis fier de toi pour ce que tu viens de réaliser


Pour une séance que je voulais douce au départ c'est seulement 1h et demi plus tard  quelle s'est terminée. Je me suis endormi la tête pleine des images  de la séance et avec déjà quelques projets pour les prochaines.


Tourmentor
.



mardi 11 octobre 2011

1 Déculottée


Incroyable talon

lundi 10 octobre 2011

3 Intermède



Je suis tranquillement en train de chatter devant mon écran lorsque je te vois arriver dans la chambre, arborant un sourire grivois et tentant de cacher quelque chose dans ton dos, un harnais de tête en cuir clouté avec un tube en guise d’écarteur de bouche… Pitié, pas ça maintenant…. L’ayant essayé une seule fois, à réception du colis, j’ai aussitôt décidé que je ne l’aimais pas. La bouche maintenue grande ouverte, j’ai l’impression d’étouffer. Bien que l’idée ait été excitante à la commande, je me sens rapidement proche de la panique à peine l’écarteur dans ma bouche. Plusieurs fois, je me libère d’un geste sec avant que tu aies fini de m’harnacher, mais en fin de compte, l’engin est fixé, et tu veux que je te suce ainsi. Fatalement, cela s’avère impossible alors tu fouilles ma bouche de tes doigts avec une rare indélicatesse. Et lorsque tu m’ordonnes de me lever, dans un geste d’affolement, j’en profite pour arracher le harnais, tu me reproches de ne pas parvenir à me contrôler, qu’il va me falloir apprendre. Tu me pousses sur le lit en disant « Ouvre ta gueule et suce ! » puis tu m’enfonces ta queue dans la bouche, en m’ordonnant de l’avaler jusqu’au bout. Encore abasourdie par ta réaction, je me laisse faire, je ne me débats pas réellement, sans participer activement non plus. Prise de court, pas excitée pour un sou, j’attends que mon désir se réveille, je me connais, j’aime être malmenée, me sentir vulnérable et sauvagement désirée. Tu me tires les cheveux, me mets des gifles. Sans ménagement, tu t’enfonces dans ma gorge, au point de provoquer des hauts le corps et des larmes… Tes doigts écartent mon intimité déjà humide et gonflée de désir, alors que mon esprit peine encore à accepter l’évidence. Et soudainement, l’excitation, violente, impérative, enfin me submerge, le corps et l’esprit réunis dans le même plaisir enivrant de ce désir irrésistible d’être possédée.


samedi 8 octobre 2011

3 Nouveau fouet

Lors de cette  soirée,  à cause de ton handicap, il était hors de question d'ajouter  à ta douleur,  donc après t'avoir convenablement attachée, j'ai décidé que c'était l'occasion d'expérimenter notre nouveau jouet .  Très jolie trouvaille du reste ce fouet. C'est surprenant ce que l'on peut trouver comme petites merveilles à détourner en fouinant dans les magasins (c'est kiki??? c'est....)

Imaginez ce que l'on peut bien  faire de ça...












Quelques pistes cependant :  Émulsion des parties humides de la soumise...application des billes tout autour du clitoris et petites pressions...ou  encore appliquer des vibrations sur les branches du fouet...couplé au violet wand ...  effet garanti !

 Les ventes de fouets vont grimper en flèche lol!









                                       Tourmentor



mardi 4 octobre 2011

0 poulies


 Le bras droit immobilisé suite à un vol plané, beaucoup de jeux nous étaient plus ou moins impossibles. Mais on ne va tout de même pas se laisser abattre, non ?

lundi 3 octobre 2011

4 Fais-moi confiance

        Nous recevons un invité ce soir, et tu me demandes de préparer  ma robe vinyle et un string fendu (pour quoi faire ?) et de mettre des vêtements légers en attendant. Qu’entends –tu par légers ? De saison ? Sans sophistication ? Qui s’enlèvent vite ? Ou carrément coquins ? Finalement, ne sachant pas à quoi m’en tenir, et les enfants n’étant pas encore tous partis,  j’opte pour du simple dans lequel je me sens bien, c'est-à-dire leggings , tunique longue et sandales  noirs.
         Pendant  l’apéro, alors que vous vous occupez du barbecue, je prépare l’accompagnement en cuisine, et je mets la table, puis tu me demandes de t’avertir lorsque c’est presque cuit, et d’aller m’habiller. Zut ! Me voilà embêtée, je me croyais prête… Il ne me restait qu’à enlever le bas ! Et aucune envie de mettre ma robe vinyle, trop provocante à mon goût, et parfaite comme sauna privé par ces chaleurs, vraiment pas ce que je choisirais … Me revoilà à désespérer devant mon placard, n’ayant toujours aucune idée de ce que tu mijotes,  je ne suis pas plus avancée que tout à l’heure, je n’ai pas envie de mettre notre invité mal à l’aise en mettant une tenue… Tu viens voir ce que je fabrique, devant mon air contrit tu me dis de rester comme je suis, l’important étant que je me sente à l’aise. Je finis par me souvenir de  l’existence d’une petite robe à froufrous qui fera l’affaire. Tu choisis  mon collier et je vous rejoins dans la véranda.


Lorsque je reviens, mon couvert  a été enlevé, et tu me demandes de grimper sur la table, pour y servir de nappe, et y manger à même l’assiette. D’un coup cette table que je vois tous les jours me semble bien haute, et je me mets à douter sérieusement de sa solidité. M’y allonger de façon gracile semble sérieusement compromis … Je te lance un regard incrédule, pensant que tu te payes ma tête, mais tu sembles décidé, bien qu’amusé. Et comme il parait que le ridicule ne tue pas, et que j’ai promis de te faire confiance et de ne pas faire ma capricieuse, je grimpe sur la chaise que me pousse généreusement notre invité arborant un sourire parfaitement narquois, et m’allonge de tout mon long au centre de la table, les pieds dans le vide, on repassera pour le côté glamour… De fait, le mot léger prend une acception inédite (lavable, à la limite même jetable) et certaines questions qui me semblaient anodines  sur le moment, et dont j’attribuais naïvement la connotation légèrement moqueuse à mon régime,   prennent un sens plus taquin, telles que « Tu manges ce soir ? » ou « Il n’y a pas trop de couverts ? », révélant votre complicité.



     Acceptant mon rôle de chemin de table pour la soirée, je croise les mains devant moi et y pose le front,  essayant de respirer lentement et régulièrement pour me calmer et ne pas renverser les photophores posés entre mes omoplates et  au creux de mes reins. Vous mangez de part et d’autre de moi, mais rapidement je me rends compte que je ne tiendrai pas longtemps dans cette position, je respire trop vite, je vais finir par faire de l’hyperventilation, et je demande à me redresser sur les mains. D’autant plus que manger allongée sur le ventre s’avère impossible, finalement vous me donnez  la becquée et à boire à tour de rôle. Quelque chose de chaud vient se poser sur mes fesses, j’imagine que c’est le plat de pommes de terre rôties, et  en sentant quelque chose de froid et humide sur mes reins, je suppute que c’est  de la sauce, moutarde ou autre, ce que des coups de fourchette (gentils) ne tardent pas à confirmer. Et malgré le moment de solitude embarrassée au début, j’ai passé un très agréable moment à être le centre de toutes vos attentions de la table


        Ceci dit, ma vessie commençant à me titiller sérieusement, je demande  la permission d’aller aux toilettes, permission refusée, je n’ai qu’à me soulager là, dans une bassine… Gloups ! Là c’est un peu trop me demander… J’ai déjà du mal à pisser dans la nature, même en absence de public, et je n’ai jamais uriné dans un récipient autre qu’un flacon pour analyse médicale…Plein d’empathie pour ma pudeur, tu attrapes un vase, et m’autorises à  me cacher partiellement derrière la porte. Fatalement, je ne parviens pas à  me soulager de suite, mais une fois commencé, impossible d’arrêter le jet… Et comme de bien entendu, on n’entend plus que moi et mes glouglous incontrôlables ! Bien que tu sois seul à assister de visu à mon opprobre, auquel tu ajoutes en prenant des photos, je suis affreusement gênée.

      Je ne peux que constater l’ambivalence de mes sentiments  à cet instant. D’une part, je ressens une gêne profonde, donc a priori désagréable, de m’exposer ainsi même partiellement pour faire mes besoins, provocant l’envie irrépressible de disparaître et de fondre dans le paysage. Et paradoxalement, ce même embarras génère à la fois beaucoup de plaisir et une forte excitation.  J’aime me laisser emporter par ce tourbillon d’émotions contradictoires, entre l’envie de fuir, de sauvegarder mon intégrité, ou de plonger et prendre le risque de faire quelques accrocs à mon orgueil (je suis bien consciente de ce que la plupart du temps la première option l’emporte). Avoir la sensation d’être au bord du précipice et me laisser submerger par cette vague de chaleur intense due à la honte (le rouge aux joues ?) suscitant un plaisir enivrant et incomparable.  A cela s’ajoute après coup la satisfaction d’avoir repoussé ne fût ce que légèrement une limite, vieux vestige de mon éducation. (D’ailleurs je me demande si ce n’est pas justement l’éducation qui est la cause du plaisir dans l’humiliation ? En attribuant une dimension honteuse à des actes innocents mais empreints de plaisir de l’enfant, ne finit-on pas par associer au contraire le plaisir à la honte ?)


       La soirée n’est pas terminée, tu me mets un bandeau et fixes la laisse au collier. On reste dans le ton de la soirée : « Fais-moi confiance » Marcher sans y voir, en se fiant à la traction au cou de la laisse et la voix, bien que je connaisse parfaitement les lieux, ce n’est pas un exercice évident, et j’agrippe ton bras. Tu me diriges vers ta voiture, et après mon refus catégorique mais prévisible de m’allonger dans le coffre, ce que je trouve dangereux et irresponsable, tu m’ouvres la portière et je m’installe à l’arrière.


       Je crois savoir où on va. Je m’accroche à cette idée, elle me rassure, malgré tes efforts pour m’induire en erreur. (Pas bien compliqué vu mon sens de l’orientation défaillant même les yeux ouverts !!!) Et lorsque tu coupes le moteur et ouvres ta portière, je sens les odeurs familières de la forêt, en sortant je sens mes talons s’enfoncer dans le sol caractéristique. Comme j’accroche des brindilles au sol, afin d’éviter que je me casse la figure, tu me libères de mon bandeau et j’aperçois avec soulagement l’entrée de notre tunnel.
La sortie se trouve 20 mètres plus loin, relativement à l’abri des regards même en plein jour. Bien qu’on ne soit jamais assuré de ne croiser personne, aucun promeneur nocturne n’arriverait là par hasard, évidemment le risque n’est jamais totalement exclu, mais j’imagine que c’est justement ça qui nous pousse à jouer dans la nature ? L’excitation quant à la possibilité ? Pas pour attirer le gibier ni pour le romantisme du clair de lune ?
      Les mains en appui sur le muret qui jouxte le tunnel, je deviens   la cible de vos martinets. Je me sens bien, je suis en terrain connu, le lieu m’est familier, mais vos gestes aussi. Ainsi je peux apprécier pleinement de vous avoir tous les deux pour moi et me laisser aller dans ma bulle en toute confiance, sans arrière-pensée.



         Malheureusement, toutes  les bonnes choses ayant une fin, nous retournons à la voiture. Tu ouvres le coffre, et curieusement, je monte sans rechigner (en fait de coffre il s’agit d’un hayon) et reste sagement couchée jusqu’au retour à la maison…

Merci à tous les deux pour ces moments délicieux



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